Je suis assise, fébrile, le désir d'écrire me brûlant les doigts. Ils ne savent pas trop comment réagir à cette grande attente de la part de mon esprit surchauffé de passions. Ils frôlent les touches, les crayons qui leur sont proposés, n'osant pas trop s'investir. Et le désir monte, monte, et sera un jour insurmontable. Il faudra écrire. Sur la vie, sur les passions, sur le besoin de chercher une identité pendant toute une vie. Sur l'angoisse, sur la société.
J'ai plein de projets en tête, j'ai même trouvé mon sujet de recherche pour la maîtrise, à l'automne prochain. Je veux écrire sur le monde, sur les tourments qui relèvent de la libre expression. Sur la violence qui découle d'une contrainte sociale.
Cahier de notes à la main, je suis armée. Mes opinions, mes soudains éclairs de génie... un jour, je m'en servirai, rien n'est perdu.
C'est pour ces raisons, et aussi d'autres, que j'ai décidé de me faire tatouer cette plume. Elle fait partie de moi. Je fais partie d'elle. 
4 commentaires:
Alors pour quand ce tattoo? ;)
dès que j'ai un peu de sous de libres! :P
C'est un peu dangereux, non? Le visuel d'un organisme aussi instable et polémique que Greenpeace.
M'enfin, faut suivre ses pulsions.
Oh! Stephane! Tu te trompes! Je ne vais pas me faire tatouer exactement ça! Je ne me fais pas du tout tatouer le logo de greenpeace, je veux juste une plume!!! lol
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