dimanche 30 mars 2008

manque d'inspiration...

Voilà plusieurs semaines que j'ai eue la bonne idée pour la nouvelle que je veux envoyer au magazine littéraire pop Biscuit Chinois. Je sais ce que je veux, mais je n'arrive pas à l'écrire. Ma tête voudrait, mais mes doigts figent. Mes pensées retournent toujours vers lui, voudraient faire l'école buissonnière alors que j'ai besoin d'elles pour créer. Je veux le faire. Il ne me reste que deux soirs avant la date limite. Je vous offre donc, chers lecteurs, ce que j'ai imaginé jusqu'à maintenant:

Une autre journée qui commence en rupture de stock de lait dans le frigo. Pourquoi est-ce que depuis cinq mois, ma nouvelle coloc se lève toutes les nuits pour boire tout ce qu’il reste de lait sans aucun remord, voyant tous les matins que je m’habille et vais en chercher au dépanneur pour pouvoir savourer ensuite un bol de céréales ou encore une bonne tasse de café? Elle fait toujours cet air de la fille qui n’est pas au courant, qui vit sur une autre planète. Elle regarde le carton de lait vide laissé outrageusement sur le comptoir de la cuisine d’un air détaché, parfois son sourcil droit se soulève comme si elle entrait dans une réflexion profonde autour du principe de nécessité d’avoir du lait le matin pour se lever du bon pied. J’ai appris à vivre de cette façon la majorité de mes matins.

Je mets mon manteau sereinement pour sortir dehors et marcher ce coin de rue qui me sépare du dépanneur. J’ai même le goût de chanter ce matin. Je sors dans la rue et le soleil me fait sourire. Il manquerait juste que des petits oiseaux se mettent à voler autour de moi en sifflotant, comme dans Cendrillon, pour que mon bonheur soit complet.

C’est pas loin, le dépanneur : un coin de rue et j’y suis. Je dis «holà!» au caissier-propriétaire du dépanneur avec qui j’aime bien pratiquer les quelques cinq mots que je connais en espagnol. J’ai toujours l’impression que ça lui fait plaisir, du moins je m’en suis convaincue. Il doit pas être de bien bonne humeur ce matin, parce qu’il ne me répond pas. C’est à peine s’il m’offre un rictus en guise de sourire. Bon, je m’en fous.

En allant chercher mon carton de lait, je décide aussi de passer faire un tour au fond de l’allée vers les trucs que je pourrais tartiner sur mes rôties. J’hésite longtemps entre le chocolat, le caramel, ou encore de la confiture, choix qui me semble le plus santé malgré la quantité incroyable de sucre ajoutée aux fraises. Je passe à la caisse, y dépose mes deux articles, et là – là! – l’espagnol qui jadis me semblait si sympathique me demande de le laisser regarder dans mon sac. Passé trop de temps dans le fond du magasin, semble-t-il. Louche, semble-t-il.

Pardon?! Pas question! Jamais je n’accepterai de me faire traiter de voleuse injustement. Il va se la garder, sa confiture, et puis même la pinte de lait! Ce n’est pas comme si c’était le seul dépanneur où je pouvais aller acheter mes commissions!

Est-ce sain de crier, juste hurler sans que cela soit intelligible, au beau milieu d’un endroit public (lire ici un dépanneur)? Est-ce sain d’ouvrir une pinte de lait pour la vider sur la tête du caissier immigrant peut-être intolérant au lactose sous seul prétexte qu’il nous a traitée de voleuse parce qu’on choisissait ce qu’on voulait acheter comme article complémentaire dans le fond de l’allée? Ou bien encore, est-ce plus sain de vider son sac à l’envers comme une folle sur le comptoir de caisse pour montrer qu’on n’a rien prit, bordel de merde, qu’on a assez d’argent pour acheter du lait et de la confiture sans les mettre dans notre sac – qui, bien que pouvant contenir une épicerie complète, n’est que notre sacoche? Non, bien entendu, rien de tout cela n’est sain. C’est pour cette raison que je me suis contentée, fidèle à moi-même, de lui faire un regard fâché (je suis certaine que ça lui a fait peur), de poser mes articles devant moi et de m’en aller sans rien acheter. Pfff. Incapable d’aucune méchanceté, d’aucune révolte. C’est bien moi, ça.
Dites-moi ce que vous en pensez, j'ai encore un peu de temps devant moi. Sachez aussi que ce n'est pas du tout terminé, ce n'est qu'un extrait. Moi, je retourne faire l'école buissonnière en attendant.

vendredi 28 mars 2008

Ya d'la joie! (j'l'ai tu déjà dis, ça?)

Bien que j'aie l'air vraiment bête aujourd'hui dû à un sommeil vraiment étrange commençant à 6hre du matin et que tout me fasse chier, je réfléchis. Ma bulle est intense et impénétrable... et dire que je m'en vais travailler dans moins d'une heure!

Tout ne va pas toujours comme je le voudrais, c'est certain. Je n'ai pas eu l'emploi d'été que je convoitait depuis... euh depuis l'été passé! J'attends avec angoisse de savoir si je suis acceptée pour la maîtrise en septembre prochain. J'ai perdu 20$ hier soir... volatilisé, envolé pour aucun usage. Je ne l'ai même pas dépensé en bières dans le bar louche où je me trouvais. Au moins, j'ai la satisfaction d'avoir passée une agréable nuit étrange. J'essaie d'écrire, en vain. Je ne sais pas du tout si je vais pouvoir envoyer quelque chose au magazine littéraire Biscuit Chinois d'ici la date du 1er avril. Rien, si ce n'est qu'une amorce de bonne idée qui ne veut pas sortir de ma tête. J'suis pas capable de faire cuire mon tournedos de poitrine de dinde géant, j'l'ai foutu dans le four et j'attends. Toute la musique dans mon ordinateur me semble moche. J'suis pas de bonne humeur aujourd'hui, faut le dire.

Mais je chiale, je me plains de niaiseries diverses parce que la vie ne va pas toujours à 100% bien. Cependant, je veux vous dire, vous criez, vous taper, bref, vous mettre devant la face sur un écran d'ordinateur que ce gars-là fait en sorte que la vie est si belle. J'aime, mais ça donne un sens nouveau à ce terme que je croyais déjà connaître. Quand j'ai pu me lever le matin en voyant sa belle face, il y a un sourire qui m'accompagne toute la journée durant. Je suis constamment émerveillée de le voir agir et penser et parler et être là pour moi. Je n'aurais jamais cru trouver quelqu'un avec qui je me sens aussi bien, avec qui je me sens sur la même longueur d'ondes. J'dois dire que la vie est pleine de surprises, et qu'elle fait bien les choses. C'était le moment parfait pour se rencontrer. Les expériences passées ont fait qu'on est ce qu'on est, et ce qu'on est est parfait pour l'autre.

Je lui ai expliquée ma théorie selon laquelle il y a une autre personne pour chacun de nous, qu'elle se promène sur la planète et qu'on peut même la croiser quelques fois sans le savoir. Sauf qu'à un moment, sa rencontre la fait briller et alors on ne peut plus la perdre de vue, elle est là toujours pour nous, c'est l'amour de notre vie. Une seule personne. On croit aimer avant, mais on ne sait pas, c'est parce qu'on n'a pas croisé cette personne-là. Je crois que je l'ai trouvée, je crois que ça brille dans ma vie grâce à lui et que c'est spécial. Je voudrais qu'il soit toujours à mes côtés.

Bref, aucuns mots ne peuvent exprimer à quel point je t'aime, Jonathan. Tu fais en sorte que ma vie est belle.

dimanche 23 mars 2008

L'auto-dérision rigolote

Je n'aime pas du tout Richard Martineau. Je ne comprends pas qu'on lui donne de la crédibilité, à cet homme qui se faufile parmi les jet-set avec son air sérieux pour ensuite se retourner et écrire des débilités à propos de sujets actuels, ou non, tels que: Arrêtez d'être soumis aux femmes et redevenez des hommes.

Martin Petit, sur son blog, a tenu une opinion à propos du journaliste que j'aimerais reprendre ici en partie. Je vous cite:

«Outre sa fougue et son infatigable soif de vérité, on peut se demander: comment Richard Martineau se distingue de TOUS les chroniqueurs journalistiques québécois?Chez les mousquetaires, Athos, Porthos et Aramis, la botte est un mouvement de l’épée exercé avec tant de précision qu’elle sert d’arme secrète en cas de duel avec un ennemi expérimenté. Pour les escrimeurs de l’époque de D’Artagnan, la botte est une signature de mise à mort, la calligraphie du tueur.

Richard Martineau possède une botte imparable, voici comment il s’en sert pour règler le cas du Dalaï-Lama ce matin:
“Il y a des gens qui idolâtrent le dalaï-lama. Je n’en suis pas. Je trouve ses positions sur la sexualité aussi arriérées que celles du pape, et tout le charabia sur sa réincarnation me laisse aussi froid que cette histoire de jeunes vierges qui attendent lascivement les martyres musulmans sur un nuage.

De même, je ne comprends pas pourquoi ce grand défenseur de la non-violence a appuyé les tests nucléaires indiens en 1998, et accepté un don de 1,2 million de dollars des mains de Shoko Ashara, un dangereux illuminé qui a libéré du gaz sarin dans le métro de Tokyo en 1995.”


Avouez qu’en 2 paragraphes, il ne reste pas grand chose de ce moine, prix nobel de la paix, avocat de la non-violence malgré le viol culturel et territorial que son peuple subit depuis prêt de 60 ans. Amalgamant le bouddhisme tibétain à l’islam des Kamikazes et à la peur du plaisir sexuel catholique, il ne reste pas grand chose du myope moine dépositaire d’un compte conjoint avec un mass-murderer sectaire et grand enthousiaste de tests nucléaires dans ses loisirs. Un peu plus et le Lama crachait du feu!

La botte de Richard Martineau c’est le crime par association. Richard a compris qu’on a tous 6 dégrés de séparation avec n’importe quel tueur, meurtrier bandit, corporation, suffit de relier les points pour dessiner un coupable. Puisque personne n’y échappe, voici mon auto-démolition à la sauce martinicienne:
Je ne suis pas de ceux qui trouvent que Martin Petit est très drôle. Je me demande même comment on peut rire des blagues d’un gars qui vend ses numéros à un festival qui est financé par Loto-Québec alors que des hommes ruinés se suicident à la pelletée dans le stationnement du Casino. Comment rire des blagues d’un gars qui a choisi comme parrain de son fils, un ancien toxicomane bipolaire qui a travaillé jadis en Allemagne, pays responsable de l’extermination de 6 millions de juifs, homosexuels et gitans.

L’humoriste utilise même une voiture qui brûle une ressource, l’or noir, qui est directement reliée aux grandes tentions géopolitiques internationales. Je ne dis pas que rire des blagues de Martin Petit équivaut à tuer des enfants en Afrique mais comme on dit, en tirant les mouches avec des bazookas faut pas s’étonner de décapiter des petits enfants affamés au passage…


Voyez ça marche ! Moi-même je m’écoeure!

Je propose même à tous les blogueurs de s’auto-Martinoïsé sur leur site, une fois que c’est fait vous pouvez mettre le lien vers votre site dans mes commentaires.
Ne vous inquiétez pas, je vous aime tous pareil, même Richard!»

Ici donc, Pour vous, je vais aussi m'auto-Martinoiser, parce que personne ne mérite ce traitement et que je prends cette cause à coeur. (Ok Caro, t'es trop humaniste, là)

Il y a des gens pour trouver que Carolane manque de crédibilité. Cette fille qui tente de faire sa trace dans la communauté en s'impliquant dans diverses actions telles qu'une grève (qui d'ailleurs commence à perdre, elle aussi, toute crédibilité) et des magazines littéraires divers (elle n'a finalement publié que dans la revue L'Artichaut) devrait se faire dire par quelqu'un qu'elle n'a pas ce qu'il faut pour se tailler une place dans la communauté artistique. Je ne suis pas de ceux qui admirent son enthousiaste enfantin ou sa persévérence. Je trouve au contraire qu'elle s'y prend beaucoup trop tard pour se découvrir un talent. Il y a des gens, comme elle, qui devrait s'abstenir d'exprimer une opinion et laisser les habitués s'occuper de l'Art.

Elle se ridiculise en affirmant viser une maîtrise en littérature, cette fille qui a l'air d'avoir 16 ans et qui n'a pas une moyenne de bolée. Elle n'écrit même pas de poèmes et ne s'est pas fait de contacts dans le milieu universitaire. Elle ne ressemble même pas à une artiste et n'est pas au courant de ce qui se passe sur la scène underground. Elle se contente d'avoir un rêve de devenir professeure de français. Au cégep en plus!

J'espère que vous avez su déceler l'ironie ici et que vous savez que par l'auto-dérision, je ne fais que me donner une bonne tape dans le dos et m'encourager. Je crois que je peux réussir, et je crois que la thérapie de l'auto-Martinoiserie devrait être pratiquée par les autres blogueurs, ça fait du bien.

Bon Printemps, tout le monde!

dimanche 16 mars 2008

Plus original comme tag!

Voilà: mon frère m'a taguée et je dois taper mon nom sur le clavier, puis le retaper avec mon coude. Tout simplement. Je vais ensuite inviter trois autres personnes à le faire.

Carolane Verreault: czafl.l,za nde vdffvdzjh,.lgt

rigolo.

Je ne me cacherai pas d'être une grèviste et d'être parfaitement en accord avec la grève de l'UQÀM et je vous invite, si vous êtes curieux, à aller sur le site internet j'appuie l'UQÀM pour vous informer.

mardi 11 mars 2008

Bon.

Il y a quelques petites choses à mettre au point aujourd'hui. Opinions, opinions, opinions. Si vous n'êtes pas contents, vous n'êtes pas au bon endroit.

Numéro UN: Je suis une sinistrée de la tempête de la fin de semaine dernière. J'ai tout vu, j'ai vécu. Croyez-moi, j'ai même la grippe pour le prouver. Quoi de mieux en un moment de tempête que la fête d'une petite fille de 4 ans que vous adorez et qui en plus est votre nièce et à qui vous avez promis d'apporter un cadeau pour vous décider à braver l'autoroute avec votre voiture? Oui, je sais qu'il peut y avoir d'autres urgences, mais justement, il fallait qu'il y ait urgence pour sortir de chez soi en cette soirée du 8 mars dernier. J'habite à Montréal, ce n'est normalement pas très long pour me rendre à Mascouche, à moins d'être à l'heure de pointe, et encore là, ce n'est pas très long. Je crois avoir passées deux grosses heures et demie sur la route. Je crois que la seule fois où j'ai eu aussi peur en voiture, c'est une fois où j'étais en gaspésie aux petites heures du matin, dans une file indienne sans que je puisse voir les autres voitures à cause du brouillard épais. Même avec leurs feux de secours. Oui, j'ai eu très peur, je vous le dis. J'ai osé sortir de ma voiture à 2 reprises sur l'autoroute pour enlever l'excès de glace sur mes essuie-glaces. J'ai roulé à 40 km/h et je dépassais tout le monde. Même si je vous en parle, il fallait y être. Finalement, une fois à Mascouche, je n'ai pas pu revenir, les routes étant devenues impraticables. Le lendemain, il y avait tant de neige dans les rues que seul un 4x4 aurait pu circuler avec difficulté. J'ai donc attendue la déneigeuse qui avait elle-même de la difficulté à passer, avant de prendre ma voiture et de retourner à Montréal, où c'était aussi impressionnant à voir, avec les voitures stationnées vraiment n'importe où, comme s'il y avait eue une catastrophe. Et mon patron qui avait l'air pas très content que je ne rentre pas travailler!

Numéro DEUX: Nous avons ici affaire à un événement très, très, très joyeux... Votre chère auteure a trouvé, avec son mystérieux amoureux qui se glisse même parfois dans les commentaires à votre insu (humm, je sais que vous savez!), l'appartement de ses rêves! Signature du bail: samedi prochain! C'est complètement fou et j'ai tellement hâte! Il y a des arbres, une belle vue autant en avant qu'en arrière, un solarium où je vais m'asseoir tout le temps, un mur de briques, une cuisine refaite, des portes françaises, alleluia! Le petit bonheur parfait!

Numéro TROIS: J'suis en grève. Il faut faire la grève, cette fois enfin! On a une véritable raison de la faire: on veut pas accepter de payer plus pour moins de services! Sérieusement, je ne vais pas vous étaler tout le problème politico-économique de l'UQÀM, mais en gros, je pourrais vous expliquer qu'on a une augmentation des frais de plus de 80$ (en plus des 50$ cumulatifs de Charest), que le plan de redressement de Claude Corbo coupe dans tout ce qui se trouve sur son passage, donc les embauches de profs, les services aux étudiants, les cours, les programmes offerts, en plus d'augmenter les frais. Voyons donc! On ne peut pas accepter cela sans rien faire, être pénalisés pour une mauvaise gestion et voir notre éducation et celle de ceux qui vont nous suivre être coupée en morceaux. (Note à ceux qui l'ignorent: le carré rouge que les manifestants portent sur leur manteau normalement du côté du coeur, c'est pour représenter l'endettement) Je participe donc à l'UQAMothon; je me présente depuis quelques semaines aux assemblées générales, une, parfois même deux fois par semaine; et je vais demain participer (oh que oui!) au bed-in organisé par l'AFESH, en tentant préalablement d'encourager mon association de se joindre à eux. Je veux vivre une fois dans ma vie ce genre de truc où la police nous met dehors après seulement quelques heures à peine. Je vais y aller et participer et ça me fait tripper! :P

Numéro QUATRE: Ya pas de numéro 4 en fait, je ne pouvais juste pas accepter de m'arrêter au numéro 3. J'aime que le printemps s'en vienne de façon peu commune cette année. J'aime qu'il y ait une température qui se fout des normes. Ça nous rappelle que la nature existe encore.

Dormez bien, et regardez toujours des deux côtés, peu importe de quoi, on n'est jamais assez prudents.

lundi 3 mars 2008

La punition...

Voilà deux grosses journées que je suis assise devant mon lap top, obligée de faire mon travail de mi-session que je suis supposée de remettre demain matin. Je me sens comme si j'étais en punition, c'est étrange. Tout autour de moi m'incite à me détourner de mon travail de rédaction, je n'arrive pas à me concentrer. Je vais voir mes courriels aux deux minutes, je me créé des playlists pour avoir de quoi de bon à écouter. 22hre et il me reste toujours 3 pages à écrire, un titre à trouver.

Ayez une bonne pensée pour moi, bientôt je pourrai retourner jouer.

samedi 1 mars 2008

Un air de changement!

Vous voici donc, chers lecteurs, témoins de changements dans ma vie. Je vous présente une belle page de blog qui me ressemble, créée par mon frère. :D

Le changement vient aussi de plusieurs éléments en même temps dans mon quotidien. Je suis à la recherche, avec mon amoureux, de notre prochain appartement que nous habiterons ensemble. C'est un peu fou et tellement trippant!
J'attends aussi des réponses, une pour savoir si je vais aller en maîtrise en septembre, une autre pour savoir si j'ai le poste de coordonnatrice du programme d'échange interprovincial. Je suis en stand by. Imaginez les horloges qui s'arrête, les gens qui retiennent leur souffle et même le crachat du jeune ado qui a craché mais qui n'a pas encore atteint le sol. On attend de voir ce qui va se passer.
Je ne change pas pour ce qui est de mes études, je suis toujours un peu à la dernière minute, et je ne m'en rend compte qu'au dernier instant. Je ne vous parlerai pas de littérature érotique cette session-ci, mais je vous prépare une recherche sur l'utopie dans Les Schtroumphs. Vous allez tripper. Je fais aussi une analyse du roman Les petits-fils nègres de Vercingétorix, un roman d'Alain Mabanckou, mais analyse qui devra prendre l'aspect d'une présentation des tensions entre peuples africains.

Bref, tout est à venir! ;)