samedi 24 mai 2008

mon bonheur il est grand

Je me suis sentie redevable à cette page blanche, je me devais de la dompter un peu… depuis le temps. Alors me revoilà, toujours aussi souriante, avec des petits soucis et des grandes joies.

J’aimerais faire passer le mot… le sourire, le rayon de soleil, le tout ce que vous voudrez. Le bonheur est si près, si près, et si fragile en même temps. Je l’ai attrapé pour de bon, je crois bien, en faisant un tour du côté de l’improbable. Le mien, il était sur internet. Il est dans mes bras, dans mon lit, bientôt dans ma maison. Mon bonheur, il est si grand que je n’en crois pas mon cœur. Il a un de ses sourires qui me picote dans le ventre et que je voudrais prendre en photo toutes les fois où je le croise au passage. Je le souhaite mien pour la vie entière, si cela peut encore être possible aujourd’hui. Je le voudrais à mes côtés pour toutes les aventures de la vie.

Un mois exactement. (Nous aurons notre chez-nous.)

Qu’est-ce que sera un échec, dans tout cela? Les doutes qui m’habitent n’ont pas lieu d’être. Le doute, très présent, du parcours scolaire différent de ce que j’avais prévu. Plus long. J’angoisse. Pourquoi, après tout? Ce n’est pas si grave, cela ne signifie pas un échec total, seulement un retard. Et j’ai le bonheur dans ma vie, alors pourquoi m’en faire? Il m’épaulera. Il sera là. Je serai aussi là pour lui.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Oh merde ! Si le pire s’abattait sur toi, c’est une année de plus à traverser la métropole côte-à-côte, avec cafés et parfois bouquins « parle-moi pas chu de mauvais poil » C’est dîner, se parler de nos cours ! C’est une centaine d’heure de plus à se partager le solarium ! Tu serais diplômée de l’université pour la troisième fois à 26 ans… la honte !

Je blague, je ne m’en fais tellement pas pour toi. T’es de celles qui arrivent à leurs fins. Je crois que pour réussir il faut soit être un tantinet coincé ou avoir un parcours imparfait. Règle générale les coincés ne baisent pas très bien donc t’inquiète, une erreur de parcours devait arriver tôt ou tard (dis est-ce que ta mère lit ce blogue ?).

Vite arrive foutu mois de juin avec tes projets qui me font rêver jour et nuit ! Faudra y aller molo parce qu’on va bien virer fou (voir meurir) avec tout ce bonheur qui pointe ! Ah ! Ce sacré bonheur il ne nous lâche pas deux minutes. Va falloir vivre avec, je crois qu’il s’est trouvé un chez eux. À retenir quand même dans tout cela, toujours garder un appareil photo à portée de main !

Je suis si chanceux d'aimer autant,

-xxx-

Benoit Bordeleau a dit…

Je suis certain que votre déménagement se passera bien: pourquoi est-ce que ça devrait aller mal? Sur ce, Caro, j'en ai profité pour jeter un coup d'oeil attentif sur nos copains les bébittes bleues (ce qui signifie que j'ai enfin terminé ma session). Très intéressant, j'attends la suite :)