jeudi 12 février 2009

Courte pause dans mon univers où le temps peut passer très lentement

Courte pause. Dis-je. Pourquoi? Voilà que je me retrouve, à l'heure où je voulais prendre mes affaires et m'en aller m'entraîner avant mon unique cours de la semaine, à ne pas avoir fini le travail que je dois remettre justement dans mon cours de ce soir. C'est plate. Comment ça se fait, en plus, que je l'ai pas fini ce travail-là???
C'est vrai que la semaine passée, c'était ma fête, j'ai fêté. (Je dois maintenant me souvenir, lorsqu'on me le demande, que j'ai 2-4-ans.) Mais bon, cela me laissait tout de même du temps, dans mon univers où je travaille trois jours, où je vais deux fois par semaine à mon stage (ah! au fait! il va falloir que je vous en parle, de mon stage!) où je ne suis jamais motivée pour faire le ménage de mon appartement que je veux faire depuis un bon mois, bref j'avais tout de même du temps depuis deux semaines pour faire ce foutu travail d'évaluation des apprentissages. Mm. Ma vie est plate. Ma vie est plate, je corrige, tout le temps sauf le soir, lorsque je décide qu'il est rendu trop tard pour regretter le choix d'activitésproductives de la journée passée, et que je deviens heureuse et souriante dans les bras de Belle Face que j'adore plus que tout, pour être tout ce qui est bien dans ma vie actuelle. Mouais, excusez-moi d'être si gaie. J'y retourne!

Je reviendrai vous parler de ce stage, dans lequel je ne fais que prendre des notes d'observation diverses qui pourraient vous faire rigoler...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Halo Caro! Une nouvelle de plus sur ton blog! C'est toujours très agréable de te lire et de suivre tes pérégrinations sur le net et à la lib.
Petite phrase découverte lors de l'un mes détours littéraires. Je pense à moi en le lisant, l'immigrante, et à toi, qui te questionnais la semaine passée sur les voyages...."Il n'y a pas de bout du monde, car il n'est jamais question que de solitude; c'est ce qui devrait consoler, si besoin en était; ceux qui n'ont jamais parcouru la terre. Ce que nous cherchons, on le trouve en effet tout entier, comme un feu, en notre for le plus interne. Lente maturation qui vaut certes bien quelques voyages, mais aucun dépaysement n'est tel, qu'il nous fasse échapper à nous-même.
Bai Chuan, "Eclat du fragment", ed. L'Amourier
Cela me laisse quelques peu songeuse....